Les valises souples pour moto

La gamme de valises et coffres BMW que propose le marché est large. Certaines sont souples et d’autres sont rigides. Concernant les valises souples, les motards les apprécient, car elles sont faciles à attacher sur la moto et détachables. Elles sont aussi peu encombrantes. Comme valises souples, le marché vous propose une large gamme de sacs à dos. Ce type de sac est un classique pour les motards, qu’ils effectuent un long ou un court trajet. Pour votre confort et éviter le mal de dos, choisissez un sac à dos adapté à votre morphologie. Il faut aussi éviter de porter des objets lourds ou pointus dans ce type de sac pour prévenir le risque de blessures en cas d’accident.
La sacoche de réservoir fait aussi partie des valises souples pour moto. Il existe 2 variantes de sacoche de réservoir, dont le modèle aimanté qui se fixe sur le métal du réservoir et le modèle à bretelles qui se fixe sur le tapis du réservoir.
La sacoche de cuisse ou de bras est très utile pour conserver les paperasses et les petits objets dont vous avez besoin au quotidien.
La sacoche latérale, aussi baptisée cavalière, existe en plusieurs capacités. La contenance de ce type de sacoche peut être augmentée par des soufflets.

Les valises rigides

On parle ici des valises robustes qui se fixent en permanence sur la moto. Parmi les valises rigides, y a notamment le top case. Celui-ci présente de nombreux avantages. D’abord, c’est une valeur ajoutée pour la stabilité de la moto, puisqu’il équilibre le poids de l’avant et l’arrière. Ensuite, il offre une plus grande capacité pour les bagages. En outre, le top case est étanche et isothermique, ce qui permet de bien conserver ses affaires. Les objets conservés seront bien protégés en toute saison. Enfin, le grand atout du top case, c’est qu’il est sécuritaire pour la moto. Il est équipé de feux de top, de feux de position et d’éclairage pour assurer une visibilité dans l’obscurité et le brouillard.

L’autonomie et la recharge du véhicule

Quand on s’achète un appareil qui fonctionne avec une batterie, on se demande toujours si l’autonomie peut répondre à nos besoins. Il en est de même pour la voiture électrique. Cependant, avant l’achat, la question à se poser n’est pas combien de minutes ou d’heures vous pouvez rouler avec la voiture, mais bien, quel trajet devez-vous faire tous les jours et sur quelle durée. Cela vous permettra de bien cibler le véhicule dont vous aurez besoin. Par ailleurs, vous devez aussi prendre connaissance de l’autonomie de la voiture comme annoncé par le constructeur et celui qu’il pourra effectuer réellement. Généralement, la première est supérieure à la seconde, surtout si la voiture est en cycle d’homologation. Comme référence, si le constructeur annonce une batterie à 40 kwh avec un trajet couvert qui peut aller jusqu’à 400 km, vous devez comprendre qu’en réalité, le trajet est de 250 km et que la consommation peut être de 15kwh tous les 100 km. Concernant le système de recharge, il vous est possible d’avoir un chargeur embarqué dans le véhicule. Ce denier limitera le temps de charge s’il est bien puissant. En moyenne, le chargeur embarqué a une puissance de 3kw, mais on peut avoir jusqu’à 22kw sur les modèles les plus récents et sur les plus performants. On peut aussi avoir des connecteurs Combo ou Chademo pour charger la batterie de la voiture. Pour ce faire, vous devez vous connecter à des bornes spécifiques pour la recharge.

Les modèles de voiture et les équipements à vérifier

Concernant le modèle à choisir, il en dépendra de votre besoin. Les voitures électriques sont actuellement disponibles en petites citadines, mais aussi, en grosse berline. On peut aussi trouver des SUV et autres. L’important c’est d’avoir les équipements adéquats dans et sur la voiture. Parmi eux, vous devez y trouver un système de toiture ouvrante. Vous devez aussi, avoir des systèmes de navigation appropriés comme le GPS ou le radar de recul. Vous devez également trouvez sur le véhicule, une pompe à chaleur qui permet d’avoir un bon niveau de puissance sur la batterie, même en période hivernale.

Réaliser un examen statique

L’inspection s’impose pour connaitre le bon ou le mauvais état de la voiture. Vous ne devez pas vous fier uniquement aux offres alléchantes et faire une vérification sur place. Commencez par inspecter tout l’intérieur de la voiture à savoir le moteur, le frein, le système de démarrage. Outre l’état des sièges, les moquettes et les plastiques. Vous devez également jeter un œil sur les éclairages, le système électrique ainsi que la sonorité et les fonctions de navigation comme le GPS. Il en est de même pour l’extérieur à savoir l’examen des roues, la carrosserie, les pare-chocs et les vitres.

Vérifier l’authenticité des pièces

Il faut bien connaitre au complet le descriptif de la voiture dont la marque, le modèle et la version. Pour s’assurer que la voiture est authentique, il faut vérifier si les toutes les pièces sont propres à la voiture. Ce faisant, les numéros d’immatriculation du moteur et du châssis doivent être conformes à ceux inscrits dans les documents qui accompagnent le véhicule.

Vérifier les documents fournis par le vendeur

Pour ne pas subir la lésion dans votre contrat de vente, veillez à bien vous informer sur l’aspect administratif du véhicule. Le vendeur doit obligatoirement posséder un certificat de non gage, ce document prouve que la voiture en question ne fait pas l’objet d’un gage et n’a pas été volée. Les autres documents obligatoires se réfèrent au contrôle technique datant de moins de six mois, aux factures de réparations faites sur la voiture, et éventuellement la carte grise de la voiture. L’acte de vente doit aussi comporter toutes les coordonnées du vendeur.